Grande Motte - Un yacht au repos / Le port de plaisance
L’humain
disparaît, laisse ses ruines, laisse ses déesses et dieux et empires vaincus.
Reviendra ? Plutôt les mouches ! L’homme parti, le paysage n’est plus
peint, l’horizon n’est plus vanté, la nature cesse d’être chantée. Et continue,
réveille et endort les bêtes qui ne sont pas étonnées de l’absence de l’humain.
L’humain n’est plus, les inutilités trouvent une autre histoire. Les bêtes
auront la peau des objets de l’humain, la peau des dieux et déesses.
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