Je me pique à certains usages et j’y enfonce mon temps perdu. Ce sont des jeux ou des séries qui se partagent, nous y tournons notre plaisir nonchalant, nous y laissons filer notre sociabilité inutile et indispensable en soirées oubliables. C’est un feu sans ardeur qui nous réunit pourtant dans ce qui n’est pas sacré et qui se produit les fins de semaines. Alors nous tournons autour du pot pour un sujet qui se laisse oublier, que nous n’osons pas appeler l’amitié, par pudeur.
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