De tout ce que j'ai senti n'entrait en moi que ce sur quoi je pouvais apposer un nom. L'inconnu, je devais le nommer avant qu'il entre dans mon corps, dans ma réflexion. La vie, c'est la connaissance. Difficile alors de sentir ce qui est loin, ce qui veut être discret ou rester caché. Aucun secret ne peut traverser ma peau, c'est désolant et je ne sais pas lire entre les lignes ou sentir une grimace dans un sourire. Il est possible que tout me parvienne pourtant par les rêves, quand la méfiance n'est plus.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire