Nous pennons du recul, bien sûr. Notre mémoire vient troubler la quiétude et voici que les anciennes observations reviennent. Mieux avant ? A-t-elle tant changé ? Et nous-mêmes, nos jugements qui furent sûrs sont emplis de doutes, nous croyions qu’en vieillissant nous allions prendre des certitudes. Non, elle ne change pas, nous voulons aussi ne pas changer. Restons ! Figeons-nous ! Puis avançons.
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