J’ai mis les voiles. J’ai mis les bouts, sans faire de remous. L’herbe verte est non loin, le ciel bleu sait attendre, j’ai pris l’air. Je le rendrai, j’ai pris l’air de respirer, pour le changer, pour changer d’air, c’est prétentieux, il s’agit simplement d’un espace plus loin, invisible aux yeux, donné par l’envie de voyage.
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