"Oui, mais il faut cultiver notre jardin". Je m'y suis mis et je savais qu'il est moins aisé de bêcher que de parler. Pas trop profond, assez pour ce qu'on veut voir pousser, pas violent mais assuré, d'un geste adroit et précis plutôt que puissant et destructeur. Fatigue pourtant, qui peut s'amenuiser avec l'expérience et en visant mieux ce qu'on veut obtenir. Le bon outil, le bon geste, la bonne terre.
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