Nous étions soudés par un air commun, le vent nous a dispersés. Nous connaissions la musique, chacun irait de son côté, fonder une chose, en détruire d'autres et le vieux monde aura rajeuni. Nous étions d'un même pas décidés à tout nettoyer. Nos mains ont pourtant transporté le progrès offert et nos pieds ont parcouru les voyages enchanteurs. Nous répandions la désolation. Fallait-il rester sur place, piétiner notre propre cimetière ?
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