Le dedans du dehors est plus vaste. Plus grand que le dehors. Il s'offre l'étendue invisible à nos yeux, il s'amuse du vide qui nous effraie tant, qu'on remplirait de n'importe quoi si on pouvait le tenir. De la musique, des images, on poserait toutes les histoires dans le dedans du dehors, au risque qu'elles deviennent invisibles. On reste donc dans le dedans, c'est habitable, ça protège, ça se partage, ça peut se remplir de tout ce qu'on connaît.
Photo : Marine Delcroix
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