Grande Motte – La ville de l’An 2000 (3-10-1984)
Un pont dans
l’eau ayant perdu les rives dérive. Et pond dans l’eau des appels à ce qu’on
arrive et qu’on lui ramène ses bords, il est fichu sans. Il est inutile, ça ne
passe plus, il est coupé du monde. Le plaint-on ? Évitons ce pont,
longeons à sec ses eaux de lamentations. Le triste pont pleure, c’est ainsi
qu’il s’est perdu, ainsi qu’il s’est noyé.
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