Grande Motte – La ville de l’An 2000- Un coin fleuri
S’il faut le chercher loin, l’exotisme se prête au jeu. Il s’offre, il se vend, il se présente à l’éphémère. Ayons soin d’en faire une représentation ou un souvenir, l’exotisme doit être rapporté, par cette illusion. En soute, en bagage, en boîte, en tête. Une mémoire, donc, une photographie, un dessin feront l’affaire. En partant, Il convient expressément de laisser l’exotisme à sa place. De ne pas le détruire, de ne pas en prendre un bout, de ne pas y graver ses initiales. Nous partirons, l’exotisme reste. Et pensons que si nous revenons, nous aimerons retrouver cet exotisme, intact et disponible. De faux exotismes sont souvent proposés dans des boutiques spécialisées. Cherchons l’exotisme authentique, il n’est pas spectaculaire, il est naturellement au bon endroit, au bon moment.
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