Il était convenu qu'étant enfant j'aimerais les châteaux. Leur puissance, leur magnifique exubérance, les richesses contenues et les sculptures jusqu'au fond des portes. Non, hélas. Je préférais les ruines, les règnes cassés, les places fortes inhabités et dont les souterrains étaient comblés, les armes désarmées, la richesse volée. Les fenêtres brisées ou mieux, absentes. Les palais me faisaient peur, je sentais la politique en moi qui se méfiant du riche et du roi. Les cathédrales, j'acceptais. Va comprendre.

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