Pour aller de toi à moi, je cherchais tant de solutions que mes pieds se sont ancrés sur cette vaine recherche. Un mouvement, quel qu’il fut, aurait suffit à un rapprochement. Ensuite, il paraît qu’on trouve son chemin en faisant des cabrioles ou des rêves, en traversant des histoires et des nuages, en suivant la pluie, son humeur, des appels, des durées éphémères. Je reste planté, espérant que c’est toi qui viendras.

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