J'ai toujours eu la prudence d'être moyen à la course, par fainéantise davantage que par le refus de ces gloires éphémères et puissantes à l'école. Après l'étude, je n'ai jamais plus couru, même après un moyen de transport, fut-il amoureux ou de l'ordre de l'équestre ou de tout objet volant. Et tout moyen de transport que je manipule n'est jamais dans l'idée d'aller plus vite que celui de devant ou de derrière. Qu'on me double, si on me laisse aller à mon rythme. Je me serai promené.

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