Parfois je prends le large et je veux l'herbe encore verte ailleurs et les nuages plus blancs, l'horizon plus plat et des cœurs doux qui m'attendraient. Timides élancées, je seconde classe, je vélo non électrique, je carte papier dépliée, je petites ailes nommées duvet. Le large en face de moi ricane un peu, se moque gentiment puis me caresse doucement. Au moins, ma prétention est sincère et ne casse pas son infini.
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