Du parterre au paradis, les gestes se croisent. Descentes, ascensions, un yoyo des ambitions, l'escalier des croyances. Le vivant doit être posé, nous avons en nous une force de gravité qui va dans le cœur de la planète, un cœur brûlant, flottant, avec quelques vagues à l'âme je suppose. Là-haut, les dieux, les morts, les oiseaux et les éphémères nuages. Soleil et nuit s'y chevauchent. En bas, les autres et moi, en respirations similaires et désordonnées, en paroles d'après Babel, en danses et fariboles pour contourner les guerres.
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