Le calme attise les mouvements. L'attente est feinte et déjà la peau se trouble et frémissent les muscles et la voix déjà a trouvé des cris qu'un premier souffle jettera. Nous nous méfions du calme qui ne sait qu'être éphémère. Et le savourons comme nous saurons savourer un dernier repas venu d'un jardin qui aura disparu. Quoi, tout s'arrêterait un jour ? Non, tout avance et l'usure y travaille.
"Le Richelieu" - Bâtiment de Ligne
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