Le merveilleux l'épuise. Elle se fait avoir, comme tous ceux qui attendent sans avoir appris à comprendre les surprises. Elle regarde autour du merveilleux, des fois que ça déborderait sur une identification possible, sur un plaisir qu'elle connaît, sur un sentiment qu'elle a déjà eu. Le merveilleux, c'est un peu le Père Noël. Dès qu'on sait que c'est un déguisement, on cherche autour. Des traces, du sucré, un message, une eau saine à boire, une rencontre sans dégât, un chant qui répond à un autre, un passage serein, un abri même par beau temps.
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