Les derniers au revoir me vont. Je rattrape mes éloignements pour ce dernier artifice de sociabilisation. Les sentiments parfois pointent leur nez, j'en ris de l'intérieur, sans vouloir gêner. On me demande ce que je deviens et j'avoue péniblement que je ne change pas afin de provoquer les sourires que je ne sais pas rendre. J'ajoute qu'elle n'a pas pu venir et personne n'ose me demander qui. Puis on se salue, on se dit "à la prochaine" sans oser comprendre ce que ça suppose.
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