J'ai lu le Petit Prince sans trop y croire. Il fallait
l'aimer, j'ai douté et n'ai rien dit, j'ai compris, pour le mouton, j'ai
compris, pour la rose, j'ai même tenté de parler à mon chien, assis, qui
semblait se moquer de mon accent et de mes adjectifs un peu poussés. J'ai écrit
quelques poèmes, pour voir ce que ça fait, une imagination débridée et étalée.
La chute ne pouvait être que des quarante centimètres de mon siège. J'ai vu sur
eBay que cette version est désormais recherchée, j'ai retrouvé le livre. Il
n'est pas numéroté. Ne vaut rien
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