La première lecture du nouveau calendrier est assujettie à la recherche des ponts. Année de patron ? Année de salarié ? On va voir le 8 mai, le 25 décembre et les autres farces du calendrier. On épluche les saints en demandant des vendredis pacifiques, on veux une grande fin de petite semaine, pour s'en aller, pour ne rien faire, pour prendre son temps pour pouvoir le donner. On aimerait poser le lundi de pentecôte un mardi et que le vendredi saint soit ici férié puis décalé un jeudi. Les ponts sont espérés, demandés, posés, magnifiés, on voudrait d'autres guerres pour autant d'armistices, d'autres dieux en souffrance puis en gloire.
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