J'habite un étage éloigné que déplacent les plaques et leurs montagnes. Chaque saison s'y promène et je fais de cette vieillesse un usage du temps perdu, luxe qu'une promenade offre quand on loge dans les transhumances. Herbes vertes décalées, un tour du monde et d'autres tours, je me prends pour le soleil et pour ce bourdon qui travaille en mangeant. Tu penses que je mange trop, que je devrais me poser, me reposer.
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