J'ai toujours détesté les chaises à roulettes. Quand il y a mouvement, c'est moi qui décide et je me soulève, je me déplace. Au boulot, quand on me proposait une chaise à roulettes, très confortable évidemment, j'enlevais les roues, les conservais en cas de démission ou de licenciement. Le bureau était alors trop haut. Mes bras et mes doigts s'y sont habitués. Je mets des cales aux chaises sans roulettes.
("L'Hermitage d'Yvon" - 2006 - Vin sur papier ancien - Philippe FAVIER)
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