Des rivalités, des face-à-face de deux arbres en concurrence, deux arbres parfaits qui dit-on cachent la forêt. C’est pour avoir plus de champignons, plus se soleil, plus d’oiseaux. On se partage les coucous, on se débarrasse d’un pivert, on admet le geai, on veut garder les truffes à ses pieds. On toise l’ami pour en faire un concurrent qui voit autrement sur un même territoire. Le soleil, lui, s’en fiche royalement. Il ne choisit pas, il est choisi.
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