Des couchers de soleil, nous en avons tous les jours. Nous en admirons le globe qui disparaît en allant à d’autres regards qui le voient apparaître. Changer d’endroit ne bouleverse pas ceci, à moins de voyager à une vitesse identique. Le plus intéressant n’est pas la contemplation de cette forme parfaite ou presque, puisqu’elle brûle le regard. C’est de contempler ce qui est encore éclairé et qui s’enfuit dans des couleurs inhabituelles. Une forme disparaît et tout en est modifié.
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