D'un pas mal assuré, on regarde ses pieds en avançant. On pourrait marcher sur n'importe quoi, un insecte, une main, un caillou pointu, une merde, une pépite d'or laissée là. Les pieds disparaîtront du regard quand on sera débarrassé de la crainte des incidents et qu'on sait où l'on va et que rien ne voudrait arrêter la progression. On regardera le ciel ou autour, des rencontres possibles, des déplacements, des éléments fixes pour repères.
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