Nous confirmons l'assise de notre existence sur la rotation du monde. Il ralentit, dit-on en ajoutant que nous accélérons. Lorsque nous étions au centre du monde, inutile de nous déplacer. La fatigue nous vient parfois de cette course circulaire autour du soleil et d'autres artifices, nous nous posons à la contemplation des nuages qui eux ne cessent pas. Voudraient-ils ? Le vent.
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