Dans tout état de guerre ou assimilable à une guerre, il y aura ceux couchés, ceux assis, ceux debout. C’est parfois le confort, la trouille, c’est parfois un vent inattendu qui soulève. Quelle serait mon attitude ? L’âge, les antériorités, un endroit font que le corps se dresse ou se cache. Le courage là-dedans est prononcé ensuite. La lâcheté finit parfois le travail de la honte, ces mots viennent ensuite, quand on a le résultat, quand on aura survécu aux marées infernales.
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