Pour apprécier une forme parfaite, par exemple un cercle qui a tourné sur lui-même, il convient de la comparer avec le marasme qui fatalement entoure la forme. Nous remarquons que la perfection n’est appréciable que par l’innocente imperfection de son milieu. Il n’est pas question de régler des comptes ou de souhaiter que tout soit parfait. On obtiendrait alors un ennui profond. Les incertitudes, les accidents, les malfaçons ont leur histoire qui est bien plus intéressante. La perfection ne parle que d’elle-même.
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